Dans un premier temps, il faudra analyser les options prévues dans les statuts et le pacte d’associés, s’il y en a un. En l’absence de solutions contractuelles, le droit des sociétés offre à l’associé qui souhaite quitter son entreprise, les deux options suivantes :
(I) Le transfert de ses parts (à condition qu’il y ait un acquéreur).
(II) L’exercice du droit de séparation
Causes légales
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Les associés (y compris ceux qui n’ont pas de droit de vote) peuvent quitter la société lorsqu’ils n’ont pas voté en faveur de l’un des accords suivants :
Les associés ont également le droit de se séparer de la société dans les cas suivants (LME) :
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A compter du 2 octobre 2011, il est possible de quitter la société en cas de non distribution des dividendes, à partir de la cinquième année suivant l’enregistrement de la société au Registre du Commerce. Il s’agit de protéger l’associé minoritaire contre l’accord réitéré de la majorité des associés de ne pas distribuer les bénéfices. Ce droit a été temporairement suspendu (jusqu’au 31 décembre 2016) à la suite de la crise économique en Espagne. Il est à nouveau applicable depuis le 01 janvier 2017.
Séparation en cas de non
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Les associés pourront quitter la société lorsque les conditions suivantes sont remplies :
Délai d’exercice du droit de séparation : 1 mois à compter de la date du procès-verbal d’assemblée générale. |